Prises de position
Nous sommes attachés aux valeurs fondamentales
de la prévoyance professionnelle et n’hésitons pas
à prendre position. Par nos interventions, nous cherchons
à défendre la raison d’être de cette assurance sociale.
Dans une interview accordée à l’émission Forum de la RTS, Stéphane Riesen, Directeur général de Pittet Associés, donne son avis sur la crise de la Covid-19 et sur son impact sur les institutions de prévoyance. Il rappelle que celles-ci ont l’habitude de la fluctuation des marchés, et que la crise actuelle n’est pas suffisamment structurelle pour devoir inquiéter les professionnels de la branche.
Article rédigé par David Pittet (in L’Agefi, supplément Indices). Le 24 septembre 2017, le peuple suisse a refusé la réforme Prévoyance vieillesse 2020. Une alliance improbable en a voulu autrement, empêchant à une faible majorité une réforme qui aurait fourni 10 à 15 ans de respiration au système suisse de retraite. Alors, oui, c’est bien un « dimanche noir » pour le peuple suisse.
Dans le cadre de la procédure de consultation sur la modernisation de la surveillance, Pittet Associés propose un nouvel alinea 2bis à l’art 52e LPP. Il confierait clairement à l’expert le rôle d’accompagner le conseil de fondation dans la gestion active-passive, comme l’explique David Pittet, CEO de Pittet Associés, dans cette interview parue dans la newsletter Prévoyance Actualité du 28 juillet 2017.
Le Matin Dimanche s’intéresse au sort du 2e pilier. Pour faire face à ses nombreux défis, l’hebdomadaire romand de référence relève, dans son édition du 12 février 2017, que le « 3e cotisant », à savoir la rémunération de l’épargne grâce aux investissements, va jouer un rôle décisif. Faut-il dès lors donner davantage de liberté aux gérants de fortune pour que les institutions de prévoyance puissent tirer meilleur parti de cette source de revenu ? Si les professionnels de l’investissement ont tendance à répondre à cette question par l’affirmative, David Pittet, Directeur général de Pittet Associés, craint qu’élargir les univers de placement ne soit pas la réponse magique que certains peuvent attendre.
En plein débat sur la réforme Prévoyance vieillesse 2020, un groupe inédit de spécialistes romands, propose six idées fortes pour pérenniser un système dont la valeur est reconnue unanimement.
Ces six propositions clés ont été présentées aux journalistes suisses lors d’une conférence de presse qui a eu lieu le lundi 30 juin 2014 à Berne. Notre collègue, Stephane Riesen, fait partie de ce groupe de réflexion.
Prise de position officielle du Groupe Pittet Découvrez la position officielle du Groupe Pittet en vue de la votation du 7 mars 2010 sur le taux de conversion. Notre opposition à une nouvelle baisse se veut technique, et répond à notre volonté de défendre la crédibilité du 2e pilier.
Interview de Meinrad Pittet (in Point de mire) Pour la majorité des caisse de pensions, 2008 aura été une année difficile. Selon diverses estimations, la dépréciation des actifs des caisses serait de l’ordre de 100 milliards de francs pour l’année dernière, soit un repli de 13,5%.
Interview de Stéphane Riesen (in L’Hebdo) Défenseur du 2e pilier, dont il rappelle qu’il est une assurance sociale, Stéphane Riesen n’élude pas le coût à payer par les assurés de certaines caisses. Tour d’horizon des mesures d’assainissement possibles.
Interview de Stéphane Riesen (in L’Hebdo) Baisser encore le taux de conversion dans la LPP minerait la confiance dans une assurance sociale qui, avec l’AVS, devrait fournir 60% du dernier salaire. Tel est l’avis exprimé par M. Stéphane Riesen dans une interview accordée au magazine l’Hebdo.
Interview de Meinrad Pittet (in L’Agefi) On pensait que 75% des institutions de prévoyance étaient sous-capitalisés. Un sondage ramène le chiffre à 50% seulement. Dans une interview donnée au quotidien l’Agefi, Meinrad Pittet affirme que le monde de la prévoyance professionnelle nage en pleine contradiction.
Interview de Meinrad Pittet, en allemand uniquement (in SPN Online) L’idée du Conseil fédéral du financement des caisses de pensions publiques est basle sur un modèle des beaux-temps, affirme l’actuaire genevois Meinrad Pittet. Il salue par contre les exigences accrues en termes de gouvernance des caisses publiques.